[vc_row section_mode= »normal » bgmode= »default » bgposition= »top left » bgrepeat= »no-repeat » bgattachment= »scroll » section_overlay= »no_overlay » sectionoverlayopacity= »0.70″ video_opacity_overlay= »0.70″ padding= »no-padding » padding_top_value= »70″ padding_bottom_value= »70″][vc_column width= »1/1″][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/2″][az_column_text animation_loading= »no » animation_loading_effects= »fade_in »]
[/az_column_text][az_social_share_button facebook_btn= »enabled » twitter_btn= »enabled » googleplus_btn= »enabled »][az_blank_divider height_value= »30″][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/2″]
[/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/1″][az_column_text animation_loading= »no » animation_loading_effects= »fade_in »]
IN MEMORIAM
[/az_column_text][az_divider div_style= »normal » div_type= »fat-solid-div » margin_top_value= »30″ margin_bottom_value= »36″ animation_loading= »no » animation_loading_effects= »fade_in »][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/2″][az_single_image image= »1013″ image_mode= »img-full-responsive » image_style_effects= »default-image » image_box_shadow_effects= »no-shadow » image_alignment= »aligncenter » image_link= »no-link » target= »_self » animation_loading= »no » animation_loading_effects= »fade_in »][az_blank_divider height_value= »30″][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/2″][az_column_text animation_loading= »no » animation_loading_effects= »fade_in »](1913-2016)
Douglas Slocombe
Magicien du cadre et de la lumière caché dans l’ombre des plus grands cinéastes du 7ème Art, Douglas Slocombe fut des plus importants chefs opérateurs de l’Histoire du Cinéma. Après des débuts prometteurs de photographe pour Life et Paris Match dans les années 50, ce génie de l’image devint le collaborateur privilégié de nombreux et illustres réalisateurs britanniques avant de traverser l’Atlantique pour offrir ses talents aux studios hollywoodiens. De l’ambiance inquiétante de The Servant de Joseph Losey aux vaisseaux extra-terrestres de Rencontres du 3ème type de Steven Spielberg, son goût pour les contrastes et l’utilisation d’une riche palette chromatique en fit l’atout incontournable des plus prestigieux metteurs en scène. Son art a ainsi magnifié de nombreuses reconstitutions historiques, du Freud, passion secrète de John Huston à Jésus-Christ Superstar de Norman Jewison en passant par Le Bal des vampires de Roman Polanski et Gatsby le Magnifique de Jack Clayton. Mais sa plus mémorabe contribution demeurera sans doute sa restitution de l’exotisme des années 30 dans les 3 premiers épisodes de la saga Indiana Jones.
FILMOGRAPHIE « HISTORIQUE » :
1949 : Noblesse oblige de Robert Hame
1953 : Tortillard pour Titfield de Charles Crichton
1955 : Louis II de Bavière de Helmut Käutner
1960 : Le Cirque des horreurs de Sidney Hayers
1962 : Freud, passions secrètes de John Huston
1964 : Les canons de Batasi de John Guillermin
1965 : Cyclone à la Jamaïque de Alexander Mackendrick
1966 : Le Crépuscule des aigles de John Guillermin
1967 : Le Bal des vampires de Roman Polanski
1968 : Boom de Joseph Losey
1968 : Le Lion en hiver de Anthony Harvey
1970 : La Symphonie pathétique de Ken Russell
1971 : La Guerre de Murphy de Peter Yates
1973 : Jesus Christ Superstar de Norman Jewison
1974 : Gatsby le Magnifique de Jack Clayton
1976 : The Bawdy Adventures of Tom Jones de Cliff Owen
1977 : Julia de Fred Zinnemann
1978 : Caravans de James Fargo
1979 : Une femme disparaît d’Anthony Page
1980 : Nijinski de Herbert Ross
1981 : Les Aventuriers de l’arche perdue de Steven Spielberg
1983 : The Pirates of Penzance de Wilford Leach
1984 : Indiana Jones et le Temple maudit de Steven Spielberg
1989 : Indiana Jones et la Dernière Croisade de Steven Spielberg[/az_column_text][az_blank_divider height_value= »30″][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]