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IN MEMORIAM
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Bud Spencer
Incontournable partenaire de Terence Hill dans les comédies musclées des années 70 et 80, Bud Spencer (de son vrai nom Carlo Pedersoli) fut l’une des plus grandes figures du Cinéma populaire italien des Trente glorieuses. Nageur hors pair, il fut le premier Italien à remporter le 100 mètres nage libre sous la minute en 1950. Ce comédien à la stature imposante commença ensuite une carrière devant la caméra, alternant figuration et seconds rôles dans les grandes productions italiennes et américaines tournées à Cinecittà (du Quo Vadis ? de Mervyn LeRoy en 1951 à L’Adieu aux armes de Charles Vidor en 1957) avant de devenir l’un des protagonistes mythiques et récurrents de cette revisitation violente et décalée de l’Ouest américain que fut le « Western Spaghetti ».
De La colline des bottes (Giuseppe Colizzi, 1969) à On l’appelle Trinita (Enzo Barboni, 1970), ses inoubliables rôles de brute au grand cœur, en solo ou en duo avec Terence Hill, ne doivent pas faire oublier ses nombreuses autres incartades dans le Cinéma historique. On le croise ainsi à la Renaissance, confronté aux affres du Vieux monde dans La grande bagarre (Pasquale Festa Campanile, 1975) ou face aux indiens du Nouveau dans Hijos del viento (José Miguel Juárez, 1999). Il navigue dans les Caraïbes infestées de pirates dans Le Corsaire noir (Vincent Thomas, 1971), traverse les révolutions mexicaines dans Cinq hommes armés (Don Taylor, 1969), règne sur l’Amérique de la Prohibition dans Les anges mangent aussi des fayots (Enzo Barboni, 1972) ou gardien dans un camp de prisonniers allemands en 1945 dans À l’aube du cinquième jour (Giuliano Montaldo, 1969). Adulé par la jeunesse du monde entier mais méprisé par la critique, Bud Spencer est emblématique du regard parodique et irrévérencieux que porta un certain Cinéma italien sur l’Histoire.
1951 : Quo vadis ? de Mervyn LeRoy
1954 : Torpilles humaines d’Antonio Leonviola
1957 : L’Adieu aux armes de Charles Vidor
1959 : Annibal d’Edgar George Ulmer et Carlo Ludovico Bragaglia
1967 : Dieu pardonne… moi pas ! de Giuseppe Colizzi
1967 : Cinq gâchettes d’or de Tonino Cervi
1967 : Pas de pitié pour les salopards de Giorgio Stegani
1968 : Les Quatre de l’Ave Maria de Giuseppe Colizzi
1969 : La Colline des bottes de Giuseppe Colizzi
1969 : Cinq hommes armés de Don Taylor
1969 : À l’aube du cinquième jour de Giuliano Montaldo
1970 : On l’appelle Trinita d’Enzo Barboni
1971 : Le Corsaire noir de Vincent Thomas
1971 : On continue à l’appeler Trinita d’Enzo Barboni
1971 : Amigo, mon colt a deux mots à te dire de Maurizio Lucidi
1972 : La Horde des salopards de Tonino Valerii
1972 : Les anges mangent aussi des fayots d’Enzo Barboni
1975 : La Grande Bagarre de Pasquale Festa Campanile
1999 : Hijos del viento de José Miguel Juárez
2003 : En chantant derrière les paravents d’Ermanno Olmi[/az_column_text][az_blank_divider height_value= »30″][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row]